A. FEMENIA - Pour le Bois de Tambour, voilà ce que l'on a trouvé dans la Flore des Macareignes :
"* Il existe une récolte récente: Lavergne 1670, sentier de la Roche Écrite, vers 1500 m d'ait.,17-01-1990 (P, REU), d'un arbre haut d'environ 7 m, à grandes feuilles arrondies atteignant 16 x15 cm qui, par leur texture et leur coloration rappellent celles de T. crassa, mais le limbe au lieu d’être plan a des marges fortement enroulées-révolutées, Seule la fleur mâle est connue et elle correspond bien à celle de T. crassa. Le seul caractère du limbe enroulé ne peut suffire à distinguer un taxon. Forme ou variété ?; de nouvelles observations et du matériel fleuri, mâle et femelle, sont nécessaires.(J. Bosser).”
F. DUBAN - Le sentier qui monte depuis Mamode Camp perdu dans les brumes et la farine s’avère très agréable. Il grimpe doucement dans la verdure. On entend couler l’eau au fond de la ravine, doux bruit pour les asséchés de l’Ouest.
Grandioses Tamarins de la forêt à Tuit-tuit, dont on a religieusement écouté le chant.
La montée se fait plus rude à l’étage des calumets où sirotent les punaises.
Les derniers kilomètres sont rocailleux, mais encore sous les Tamarins.
Très aimable accueil au gîte.
Retour du réfectoire sous un ciel étoilé de cristal immobile. Silence. Blaise.
Au matin, la gelée crée des tapis tissés de lumière.
Après les passages rocailleux dans la végétation éricoïde, les grandes dalles basaltiques nous font un boulevard.
Qui finit par monter rudement, toujours dans les branles.
La plate-forme sommitale a déjà accueilli quelques visiteurs, dont un tout petit bébé.
La vue est fabuleuse, grandiose, fantastique, sensationnelle, merveilleuse, exceptionnelle, mythique, etc.
Merci André !
Et un merci personnel à Andrée et Michel pour les sandwichs pas oubliés ceux-là, et à Annie.
Nous avons bien pensé aux absents dont certains nous ont suivi sur Wassap.