Si le début du sentier est relativement peu envahi encore, c’est en redescendant du point de vue sur Les Makes et la côte sud-ouest que l’invasion devient gênante. On voit parfois qu’à grands coups de sabre à canne des arbres ont été dégagés, mais cela permet de bien confirmer que sous les Longoses, il fait nuit noire.
Notons tout de même la présence d’énormes Laurent Martins, Tan Rouges et Mapous, témoins d’un temps passé…
Et aussi le franchissement de ravines sans nom dont les Sphaignes tapissent les flancs rocheux. Les Longoses n’y ont pas prise.
Pique-nique que l’on ne se hasardera pas ici à qualifier, sous les kiosques du Tévelave, sous un grand ciel bleu.
Résumé de ChatGPT
L'auteur exprime sa joie de retrouver les Hauts du Tévelave et la grande tamarinaie, mais il est contrarié par l'invasion rapide des Longoses, une plante envahissante. Cette invasion rend la marche en forêt moins agréable, surtout lorsqu'on redescend du point de vue sur Les Makes et la côte sud-ouest, où les Longoses sont particulièrement problématiques. Malgré quelques tentatives pour dégager les arbres, il fait sombre sous cette végétation envahissante. Cependant, l'auteur remarque également la présence d'arbres anciens comme les Laurent Martins, Tan Rouges et Mapous, qui témoignent du passé de la région.
L'auteur évoque également le franchissement de ravines sans nom, où les Sphaignes recouvrent les flancs rocheux et où les Longoses ne sont pas présentes.
Enfin, il mentionne un pique-nique sous les kiosques du Tévelave, profitant d'un ciel bleu, mais ne s'aventure pas à qualifier la qualité de ce pique-nique.