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A. FEMENIA - M. BEGUE - Le Cap …   avec sa végétation de forêt semi-sèche se mérite toujours autant ! Une année depuis notre dernière visite ça se sent dans les genoux !

Une nouvelle plantation d'espèces locales s'étend maintenant depuis la route jusqu'à la descente vers le Cap, les espèces sont variées ( Bois de judas, Mazambron, Lataniers rouges, Bois de buis, de tisane rouge...) et semblent avoir bien démarré.

Les "petites" comètes sont au rendez-vous et... dès la fin de la dernière échelle !

La sécheresse sévit encore, certaines plantes du Cap …. semblent bien flagada... : les psiadias font "pitié", les feuilles des Bois d'osto, de pintade pendouillent et se referment...

Les fleurs des petites comètes (Angraecum eburneum) sont petites, certaines semblent sèches à peine écloses... : manque d'eau ????, certaines semblent "croquées" par ???

Les touffes de ces orchidées accrochées sur des rochers sont toujours un réel plaisir des yeux et aussi du nez... on  attend (avec impatience) l'invention de la photo olfactive ! Nicole les a pollinisées, nous n'avons fait que les admirer.

Aucun phelsuma ne s'est montré, leurs "nichoirs" abritent feuilles, toiles d'araignées...

Pique-nique encore festif avec vue sur l’océan….


F. Duban - Rien à ajouter à cet excellent compte-rendu. Peut-être souligner qu’à de nombreuses reprises on entendit au fil des découvertes et des panoramas aériens cette exclamation enthousiaste : “Quel site fabuleux !” (pour les vrais amateurs de botanique de Bourbon, car physiquement l’exploration demande une excellente forme physique). Notons aussi l’élégance de trop rares Bois d’huile et Bois de tisane rouge arrivés à maturité. Et l’escarpement des pentes dans le sous-bois dégagé ou au bord du vide. Il est des lieux où …. 

© François DUBAN 2020